04 juin 2025

the room 5, le combat

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27 mai 2025

cadeau...

 

un petit show très intime....comme une invitation




cours particulier de lutte

  




Un dimanche matin, Éric m’amène à notre salle d’entrainement. Quand on entre, je suis surpris de voir que l’endroit est vide. Mais dans un coin, j’aperçois Jean, notre entraineur. Il me sourit et il me salue :

- Je suis content de voir que vous vous entendez bien maintenant.
- Ah oui, on a bien enterré la hache de guerre, renchérit Éric.
- Super ! Allez, en position de combat !

Nous avons tous revêtu notre tenue d’entrainement en lycra. Je mate Éric : il a des cheveux châtains, mi-longs. Il a 30 ans, il est assez grand (1,80 m) et il a une barbe de 3 jours. Il porte une combinaison rouge qui laisse apparaitre des bras musclés secs. Ses biceps sont particulièrement impressionnants. Ses pecs sont bien formés, un peu bombés. Son corps est mince, mais sa combinaison moule un ventre plat et musclé. Ses jambes tout aussi musclées. Et surtout... sa combinaison moule un beau matos ! Sa queue forme un arc-de-cercle par-dessus, ce qui lui fait un paquet bien volumineux qui bouge de haut en bas sous ses pas...

Quant à Jean, il est blond et il a dans les 40-45 ans. Il est de petite taille (1,70m) et il a des cheveux courts ainsi qu’une barbe. Son vêtement en lycra laisse deviner un corps svelte, musclé sec. Le vêtement en lycra qu’il porte aujourd’hui met superbement bien en évidence son paquet : on distingue une bite plutôt petite et un gland enfermé dans un long prépuce. Il la remet alors en place et elle se retrouve contre sa cuisse. J’ai alors une vue plongeante sur de petites couilles dont on devine extrêmement bien les formes.

Jean me fait mettre à quatre pattes sur le tapis de lutte et il demande à Éric de se mettre derrière moi. Jean siffle et Éric passe ses mains autour de mon ventre. Je sens son gros paquet posé contre mes fesses. Ma queue se met à frétiller mais aujourd’hui, ce n’est pas un problème. Immédiatement, je me braque, je redresse mon corps mais les bras d’Éric viennent se positionner sous les miens et il me bloque. Jean siffle et on reprend. J’arrive presque à me libérer, mais cette fois encore, Éric est plus rapide. L’entraineur siffle et il engueule Éric car il est trop violent.

Jean passe derrière moi et il m’explique comment me libérer. C’est si étrange de sentir la présence de mon entraineur derrière moi... et surtout de sentir son corps se coller contre le mien. D’habitude, il porte un survêtement. Là, je sens bien son corps dans sa tenue en lycra. Il frotte son paquet contre mes fesses... et je vois ma queue gonfler dans ma tenue... et ça devient bien visible. Et grâce aux explications de Jean, j’arrive à me libérer. Personne ne semble avoir remarqué ma demi-molle.

Éric et moi reprenons le combat et cette fois, on est libre de combattre. Nous nous faisons face. Le sifflet retentit, mes mains attrapent les bras d’Éric qui lui me saisit les épaules. Je vacille un peu mais je garde mon équilibre. Son pied droit se retrouve alors entre mes jambes mais j’arrive à attraper son autre jambe. Ses mains passent autour de mon corps. Il arrive à me déséquilibrer et on tombe par terre. A la vitesse de l’éclair, il saisit mes poignets, ce qui m’empêche de bouger. Il enferme ma jambe droite entre ses deux jambes et sa main gauche maintient fermement ma jambe gauche. Je me retrouve alors la tête sur son torse, mon corps par terre... et les jambes bloquées, de telle sorte que je présente mon cul à Jean... qui s’agenouille et qui me caresse les fesses. J’essaie de me débattre mais Éric me tient fermement. Jean passe sa main dans ma raie, imité ensuite par Éric.

Éric se redresse, fier de lui. Jean arrive sur lui et, rapide comme l’éclair, il le met à terre. Il bloque son bras avec les siens tandis que ses jambes sont posées sur le corps d’Éric qui ne peut plus bouger. Les deux se redressent, ils se saluent puis ils reprennent. Jean parvient à se faufiler derrière Éric, il le ceinture et il le fait tomber à terre. Jean se retrouve sur le sol, les bras autour du corps Éric qui est étendu sur lui. Éric se débat et Jean le fait tourner : Éric se retrouve sur le ventre et Jean collé dans son dos. Il bloque ses jambes avec ses pieds et ses bras sont passés autour de son corps. Éric ne peut plus bouger. Je remarque alors que la queue de Jean est au niveau du fessier d’Éric et il bouge en cadence d’avant en arrière. Les deux se redressent et je vois alors que le paquet d’Éric a pris du volume. Celui de Jean a pris un peu plus de volume aussi mais celui de mon pote est bien visible !

Je me retrouve devant Éric qui semble rouge de honte. Je le fais tomber et j’arrive à bloquer sa jambe de mes bras alors qu’il veut se redresser. Il est bloqué par terre. J’ai une vue plongeante sur son énorme paquet... que je me mets à caresser. Éric se laisse faire en souriant. Sa queue devient bien dure. Ses 22 cm sont bien visibles à travers le tissu.

Je le relâche et on se met à combattre. Parfois, je prends le dessus, parfois c’est Éric. Nos corps se frottent l’un contre l’autre, pareil pour nos bites... qui sont bien dures dans notre tenue de lycra. A un moment, Éric se retrouve sur moi et il place son paquet sur mes lèvres tandis qu’il me bloque bien. En un éclair, Jean se précipite sur Éric et je me retrouve libre. Mon pote se retrouve à son tour sur le dos, le cul en l’air. Éric et moi en profitions pour le caresser. Jean se penche alors au-dessus d’Éric... et il lui roule une grosse pelle tout en passant sa main dans sa raie.

Jean relâche sa proie... qui se retourne vers moi qui suis debout. Éric remarque que je bande... Il s’approche de moi et il se met à frotter mon paquet. Il en approche son visage et il se met à lécher ma queue à travers le tissu... Puis, il enlève ma tenue de lycra et il enfonce ma bite dans sa bouche. Jean s’approche, il caresse la tête d’Éric ainsi que mon dos.

Ensuite, Jean prend la tête d’Éric et il la bloque. Il me fait signe et je bifle alors Éric. Puis, j’enfonce ma queue dans sa bouche que je me mets à baiser lentement. Je remarque que Jean bande dur dans sa tenue en lycra... Il a l’air d’avoir un beau morceau ! Jean saisit mes fesses et il les pousse vers la tête d’Éric qu’il bloque et il me fait de bonnes gorges profondes.

Éric finit par se faire libérer et il se précipite sur la queue de Jean qui se fout à poil. Il a de beaux pectoraux et de grosses cuisses. Son corps est couvert de poils frisés et châtain. Le milieu de son torse et de son ventre est recouvert d’une ligne de poils encore plus épaisse que le reste, très dense. Il a un pubis velu, tout comme ses jambes et ses bras. Il a une bite de 18 cm, fine, avec des petites couilles poilues.

Éric se met à sucer Jean qui se laisse faire. Mais très vite, il saisit sa tête et il se met à lui faire des gorges profondes. Je me mets à côté de Jean et Éric revient au bout de quelques minutes vers ma queue qu’il se remet à sucer. Il alterne ainsi nos deux bites. A un moment, Jean me prend par le cou et il me roule une grosse pelle... avant de s’agenouiller devant moi et de me sucer. Éric se relève et Jean alterne nos deux bites. Putain ! Il suce trop bien ! Sa langue joue avec mon gland tandis que ses mains me caressent le ventre ou me tirent les couilles. Éric se penche sur moi et on s’embrasse goulûment. Il se retrouve maintenant lui aussi à poil. J’admire son magnifique corps : il a des tablettes de chocolat de malade, bien dessinés. Son torse ainsi que son ventre sont recouverts de poils fins et clairs. Son pubis est velu. Ses bras et ses jambes sont rasés. Ses couilles sont grosses, pendantes et marron, rasées. Il a une bite veinée et marron de 22 cm, avec un gros gland.

Jean a l’air d’apprécier nos couilles. On soulève alors bien notre bite et Jean lèche, masse, gobe nos boules. Ensuite, Éric se couche sur le sol et il glisse sa tête sous le cul de Jean qui est toujours accroupi en train de me sucer. Éric fait entrer la langue dans le trou de notre entraineur et il se met à lui bouffer le cul. Moi, pris par une envie indescriptible, je prends la tête de Jean dans mes mains et j’entame un pilonnage en règle de sa bouche. Il encaisse bien mes 17 cm. Je vois Éric qui est passé aux couilles de Jean qu’il se met à travailler.

Finalement, Éric se redresse et il se met à quatre pattes pour me sucer. Jean en profite pour faire entrer sa bite dans son cul. Il utilise sa salive et il s’y enfonce lentement. Une fois au fond, il agrippe les épaules d’Éric et il se met à le baiser sur toute la longueur de sa teub, rapidement, sauvagement. J’entends ses couilles frapper le cul de mon pote qui me suce. Jean lui saisit la tête et il rythme aussi sa suce. J’admire le cul de mon entraineur : sa raie est une vraie forêt vierge, remplie de poils châtains et frisés, longs qui cachent son petit trou serré

Au bout de 5 minutes, Jean ressort et il fait mettre Éric sur le dos. Il écarte bien les jambes et sans réfléchir, j’enfonce ma teub dans son trou d’un coup. J’entame une baise régulière assez lente. J’admire aussi les 22 cm d’Éric qui sont bien tendus et qui bougent de haut en bas sous mes coups de reins. Jean lui donne sa queue et Éric a de nouveau ses deux trous bien occupés. J’admire aussi son magnifique corps musclé.

N'y tenant plus, je me retire et je m’assois sur son corps. Il enfonce immédiatement sa langue dans mon anus pendant que moi, je suce sa grosse queue. Quand il m’a bien humidifié, je vais m’assoir sur sa bite qui entre lentement en moi. Puis, je m’accroupis et je me mets à faire des allers-retours sur sa grosse teub. Éric pose ses mains sous mes cuisses et il m’aide à le chevaucher. Que sa queue me fait du bien ! Elle m’avait manqué !

Éric se retrouve mon destrier pendant 10 minutes puis je finis par redescendre. Jean se précipite alors sur lui et il le maintient sur le dos, par terre. Il s’avance vers sa bouche et il lui donne sa queue à sucer tout en le bloquant bien. Il commence à lui baiser la bouche et Éric semble bien apprécier ce traitement. Puis, son corps glisse le long de celui d’Éric, il lui bloque ses bras en maintenant ses poignets, et ses jambes avec ses pieds. Sa queue se retrouve devant le trou d’Éric et Jean s’y enfonce. Il se met à le baiser tout en le maintenant toujours fermement. Puis, il le relâche et Éric se laisse pilonner et se faire branler en même temps.

Puis, il le fait mettre à quatre pattes et Jean enfonce de nouveau sa queue dans le trou. Il le relève contre son corps et ils se retrouvent accroupis. Je m’avance et je m’embroche sur la teub d’Éric qui se met à faire des va-et-vient rapides. Après quelques minutes, Jean nous fait coucher sur les tapis et il se met à nous chevaucher à tour de rôle. Son trou est serré et très mouillé. Puis, Jean se pose sur moi et il me dit de me débattre. J’obéis, j’arrive à me redresser mais il me saisit dans le dos, ses bras passent sous les miens. Je sens sa queue. Il appuie de tout son poids sur moi, je me retrouve sur le dos et sa bite entre tout de suite dans mon cul. Il me maintient par terre et il entame des mouvements de reins sauvages et rapides.

Éric rentre alors dans le cul de Jean. Les deux se mettent à faire des allers-retours puissants synchro. Je sens la queue de Jean bien dure me pilonner tandis que celle d’Éric le pilonne lui. Je sais quel effet fait l’énorme bite d’Éric et Jean semble adorer avoir ce monstre en lui pendant qu’il a sa queue enfoncée dans mon trou.

Très vite, Jean se met alors à pousser un râle et je sens que sa queue envoie des giclées au fond de mon cul. Éric sort de son trou et il se penche sur le mien. Jean tasse son jus que je sens déborder hors de mon anus. Éric avale alors tout le sperme qui s’en échappe. Au bout de quelques secondes, Jean ressort et Éric lui nettoie bien sa queue poisseuse de sa semence... avant d’enfoncer ses 22 cm en moi. Il me saisit, il me fait me retourner. Il se retrouve sur le dos et moi je suis coincé contre son corps. Je soulève mon cul et il se met à le pilonner. Le jus de Jean coule le long de son membre pour venir recouvrir ses couilles qui battent de haut en bas sous ses coups de reins. Au bout de 5 minutes, Éric se bloque en moi et il me lâche son sperme au fond de mes entrailles.

Quand sa queue ressort, un long torrent de jus dégouline sur sa queue à demi-molle et sur ses couilles. Éric se redresse, il me présente son cul. Moi, je me branle, je m’enfonce dedans et je lui lâche 6 grosses giclées de sperme. Quand sa bite quitte mon trou, un long filet jaillit hors de son cul et coule sur le tapis. Éric se retourne, lèche et avale ma semence.



On finit par se redresser, souriant, recouvert de sueur. On se roule des pelles.

- Une bonne douche, et on s'entraine pour de bon et à fond.  T'as peut-être un beau cul mais t'es loin d'être au niveau question lutte!
- OK!
Hélas ou tant mieux, sous les douches on a eu une terrible envie de recommencer, l'entrainement attendra.....




18 mai 2025

Massage surprise

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15 mai 2025

Fantasme new-yorkais



Je vais souvent à New-York.  Enfin, le plus souvent possible selon mes moyens et mon emploi du temps.  C'est une ville,  la ville où je me sens bien.  De fait,  dès que je sors de l'aéroport,  dès que je hume son odeur,  dès que j'en distingue les bruits,  je me sens chez moi,  bien.  Cette ville je l'ai connue sous de multiples facettes,  sous plusieurs climats et j'en ai parcouru de très nombreux recoins.  Quand je vais à New-York,  j'y vais seul et je fais en sorte de disposer d'au moins 2 semaines.  Je loue un appartement car habiter,  me sentir chez moi,  est primordial.  J'y vais seul car New-York et moi c'est comme une vieille histoire d'amour.  Il m'est arrivé bien sûr d'y aller accompagné mais le fil se distend, je ne suis plus en "communion avec elle.  Je préfère y aller seul aussi parce que je suis photographe et que c'est pour moi la seule façon de faire ; me perdre dans ses rues et voir,  ressentir,  capturer. 
Bien sûr, il arrive quelque fois que ces immersions me fasse vivre des histoires fugaces ; un soir un bar,  une nuit avec ou sans paroles.  Mais très vite, je retourne à mon trip solitaire. 
La dernière fois,  au printemps dernier,  tout a failli basculer.  
Un quai de métro à la structure métallique écaillée,  le bruit assourdissant des rames express qui ne s'arrêtent pas et qui se croisent,  le carrelage hors d'âge  qui indique la station. 
Un express passe sur mon quai,  j'attends la rame qui me ramènera uptown. Je suis dans mes pensées,  éreinté par ma journée de marche,  je regarde fixement droit devant moi,  sans rien voir.  
Et puis le voilà,  l'express est passé et il est là sur le second quai,  là juste en face et loin.  Il me regarde,  il sourit , c'est certain, pas de doute,  il me sourit. 
Il dégage un charme fou,  c'est comme si tout son corps m'envoyait, malgré la distance, une nuée d'hormones,  m'électrisant tout entier,  me donnant une envie folle de courir vers lui.  Je souris également sûrement d'un air contrit,  bête ; je dois avoir l'air con!
Un bruit assourdissant,  puissant,  une rame arrive et il a juste le temps de hausser les épaules avec une expression de déception.  Le train s'arrête,  il monte,  un dernier regard,  un " good bye " lu sur ses lèvres....
Soudain un grand vide autour de moi.  J'ai laissé passer la rame et pour la première fois dans cette ville, je me suis senti seul. Mon projet soudain n'avait plus d'importance.. le sentiment d'avoir loupé quelque chose. 
Je suis rentré chez moi et je le le voyais partout,  en fait,  je nous voyais partout ensemble.  Un marchand de glaces,  nous y étions, une glace à la main tout en rigolant.  
Une belle vitrine de fringues et nous voilà en train de commenter tel ou tel pantalon ou chemise. 
A la maison je l'imaginais sous la douche,  lisant un livre près de moi.  Toujours ce même sourire. 
Et puis, bien sûr,  j'ai eu envie de lui.  Envie de son corps svelte et délicatement musclé,  envie de sa peau blanche contrastant avec la mienne,  envie de caresser ses tatouages,  ses fesses musclées et fermes. 
Son corps d'une blancheur presque maladive, s'offre à mes mains. ses muscles secs et fermes roulent sous mes doigts tandis que nos langues bataillent. 
Il est là contre moi,  encore vêtu d'un horrible boxer "couleurs du drapeau des usa ". On s'embrasse avec une douceur infinie.  Je suis nu,  ma bite massive tendue vers lui qu'il caresse déjà.  Le coeur battant, je soulève ses bras et j'hume puis, avidement, lèche ses aisselles humides et odorantes. Je baisse doucement son boxer pour caresser avec ravissement ses fesses .
Il se retourne et se penche en avant frottant son cul encore en partie recouvert des couleurs nationales.  Ces fesses fermes et creuses que mes mains parcourent. 
Le message est clair; nous voulons la même chose. 

Je  baisse le boxer et frotte ma verge le long de son sillon.
- je veux que tu me baise me susurre t'il en se collant contre moi,  ma verge  confortablement installée entre ses fesses.  Tout me plait en lui,  ses oreilles légèrement décollées que je mordille, ses hanches fines,  son long cou que je parcours avec la langue. 
Il se retourne face à moi, 
- donne-moi ce qui va me posséder..
Ses caresses sont d'une douceur extrême et je tremble de désir. Il  pose un baiser sur mon gland déjà humide de mouille, puis ses lèvres descendent lentement le long de ma hampe pour finir sur mes boules et mon entrejambe.… Il sait y faire !
Il lèche embrasse,  joue avec ma verge avant de la gober presque entièrement. Je gémis et l'encourage a continuer.
Il se retourne à nouveau et frotte ma bite contre sa raie. Mon excitation est à son comble mais il fait durer,  monter en intensité.  On s'embrasse,  se caresse. 
Ma verge dont je connais la taille, est complètement gobée, ses lèvres venant régulièrement chatouiller mon pubis. J'adore ces moments, j’adore voir la salive couler le long de ma hampe, entendre ces borborygmes caractéristiques, ces dégurgitations passionnées. Une main tient ma verge, l’autre fouille mon entrejambe et mon sillon à la recherche de mon œillet. je me suis calé contre le canapé, cuisses bien écartées pour qu'il se sente bien confortable et je me suis laissé gagner par le plaisir. Le plaisir donné par sa bouche experte, par ce doigt qui maintenant caresse ma prostate, par ce corps si pâle, cambré devant moi et ce cul inaccessible encore. J’avais encore en tête, sa sublime porte que je rêve déjà de posséder. Après de longues minutes de ce traitement, je suis au bord de l’orgasme, le corps tremblant de spasmes. Pendant un moment, toutes mes émotions se sont concentrées sur le petit point que son doigt flatte et sur mon gland électrisé. Je gémis d'une voix rauque, ma queue gonflée prête à exploser. 

 Enfin je l'emmène dans la chambre.
 Il se couche sur le dos et me tend les bras. Je le lèche de partout, sa peau est si douce ! Doucement,  je le débarrasse enfin de son ignoble boxer.  Enfin sa queue est libérée je le suce avec plaisir mais ce qu'il veut c'est que je lui lèche la rondelle et il me pousse gentiment la tête vers son sillon tout en levant les jambes. Il écarte  largement les cuisses  et là, tout près de mes yeux et de ma langue, au creux de son sillon, une exquise fente rose. J'y glisse ma langue, caresse du bout des doigts les suaves parois de ses sphincters. 
 Il pousse mon visage  contre ses fesses et ma langue après avoir léché ses sphincters légèrement écartés s'enfonce profondément  provoquant de rauques plaintes.
Assis sur moi,  il reprend en bouche ma verge tout en collant son cul contre mon visage.  Ses fesses bien écartées m'offrant un merveilleux paysage ; sa rosace dans laquelle j'enfonce ma langue. Il est déjà bien ouvert j’arrive à le sodomiser rapidement avec ma langue.

- J’ai envie de te sentir dans mon cul 

Sans attendre, il écarte bien ses fesses avec ses mains pour me présenter sa rondelle. Je mets mon visage à hauteur de son postérieur et recommence à lécher au creux de son buisson, sa rosace.
Alors que je continue de le lécher, je le pénètre avec un doigt. Son sphincter est tellement détendu que j’en rentre rapidement un deuxième puis un troisième. Alors que je continue de le doigter, il gémit fort et me réclame entre deux halètements,  ma queue. 
Je retire mes doigts d’un seul coup et je profite de l’ouverture de son œillet pour le prendre d’un coup sec. Même si je rentre très facilement, il pousse un petit cri mais qui semble plus de surprise que de douleur. Surtout que dès que je me mets à le limer, il gémit de bon coeur.

Tandis que je continue de le ramoner plus ou moins vigoureusement, il se met à contracter ses muscles autour de ma teub et à bouger le bassin; à mon tour maintenant de gémir!
Je l’empoigne par les fesses, je me plante à fond en lui et je le défonce comme si je n’avais pas baisé depuis des années.
Je sens rapidement ses muscles se contracter de nouveau presque au point de m’immobiliser en lui. Je continue de le limer jusqu’à ce qu’il se détende puis je décule d’un seul coup. C'est tellement serré que je risque de jouir instantanément mais quel bonheur de voir sa rosace ouverte et palpitante!

 Nous changeons de position. Je le mets de nouveau en levrette sur le lit. Je viens derrière lui pour le prendre d’un seul coup. Mes coups de reins sont tout de suite très violents. Toujours profondément en lui, je le soulève contre moi, enfonçant ma queue encore au plus profond, si c'était possible, de son cul. Je prend sa tête  pour le rapprocher de mon visage, je le regarde, les yeux voilés par le plaisir et je l’embrasse avec passion. Nous nous enlaçons fougueusement. Son mandrin sec, tordu, veineux pointant, une perle de mouille accrochée au méat de son gland découvert. 
J'ai bien cru plusieurs fois qu'il allait jouir, mais à chaque fois je me suis arrêté à temps.
 Fouillant son petit cul brûlant,  Il râle de plus en plus fort, criant presque; 
son cul bien ouvert laisse glisser ma queue partout où elle veut aller!   Son dos vient se coller à mon torse, j'ai la tête qui arrive juste à son épaule!  Je lui mordille la nuque, tord sa tête pour lui bouffer la bouche. il bande c'est fou, je trouve que sa queue est encore plus grosse, plus raide, plus coulante!  C'est marrant de voir les expressions qui circulent sur un visage quand ta queue voyage dans son cul! Ça  m'excite de le voir se mordre la lèvre, ouvrir la bouche en un cri muet quand ma queue tape au fond de son cul, et se mordre quand elle se retire!
D'une main je commence à le branler lentement, j'aime sentir sa queue dans ma main, vivre, mouiller  durcir, gonfler encore et encore.

J'en suis,  nous en sommes à un point où il n’en faut pas longtemps avant d'être emportés par l'orgasme.

- je veux goûter ton foutre, je veux que tu jouisses dans ma bouche. 

Je me retire, et me présente debout devant lui. Il me branle, me suce et en quelques secondes je me vide en lui, son regard perce le mien et ma jouissance est incroyable, la quantité de foutre qui sort aussi. Il me nettoie mais mes jambes ne me portent plus, je m'allonge, il me suce jusqu'à nettoyer la plus infime trace sur ma queue. Je prends son sexe dur en main :

— Jouis moi dessus, je veux sentir ton foutre sur ma poitrine.

Il se laisse faire et jouit sur moi rapidement.

Je hurle de plaisir  et la réalité me saute au visage.  Je suis affalé sur mon canapé, le slip baissé et souillé,  le ventre couvert de foutre . Seul.